Loyola de Palacio, vice-présidente en charge des transports et de l'énergie, s'est réjouie d'un tel accord, qui «constitue une avancée essentielle sur le terrain de l'Europe sociale dans un secteur qui en
était exclu jusqu'à présent» Elle a également souligné «qu'au-delà de l'application des droits sociaux fondamentaux, cette directive contribue à renforcer la sécurité routière : aujourd'hui, nous avons franchi une étape indispensable pour un transport routier plus sûr et plus concurrentiel. Elle complète les autres propositions en matière de formation, d'attestation du conducteur, de temps de repos et de conduite ou de règles harmonisée
...[+++]s sur les interdictions de circulation».