Dans ses conclusions du rapport de vérification sur l’eau potable sécuritaire dans les collectivités des Premières nations de 2005 de la commissaire à l’environnement, Jerome Berthelette du Bureau du vérificateur général a expliqué au Comité que le ministère n’avait pas disposé de preuves suffisantes pour déterminer si les usines de traitement des eaux ont été construites selon les normes établies et étaient confo
rmes et qu’elles ne présentaient aucune lacune en ce qui a trait à l’usine de traitement des eaux([11]). En d’autres termes, le ministère n’a pas défini adéquatement les carences existantes en matière de capacité de l’usine à pr
...[+++]oduire la quantité et la qualité d’eau nécessaire ainsi que la construction de l’usine elle-même.Commenting on the findings of the Commissioner of the Environment’s 2005 audit of safe drinking water on reserve, Jerome Berthelette of the Office of the Auditor General indicated to the Committee that the “department did not have sufficient proof that the water treatment plants were either built to the standard they wanted it to be built or expected it to be built to, and that there
were no deficiencies with respect to the water treatment plant” ([11]) In other words, the Department had not adequately identified existing deficiencies with respect to both the ability of the plant to produce the quantity and quality of water required, as
...[+++]well as the construction of the plant itself.