Dans l'arrêt R. c. Hydro-Québec (1977), la Cour suprême du Canada a confirmé que la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (version de 1988 de la loi fédérale actuelle) était une loi de droit criminel, malgré le fait que l'interdiction par la Loi d'émettre des substances « toxiques » ait été précédée d'un processus administratif visant à déterminer si une substance particulière devait être classifiée comme « toxique ».
In R. v. Hydro-Québec (1977), the Supreme Court of Canada upheld the Canadian Environmental Protection Act (a 1988 version of the current federal statute) as criminal law, despite the fact that the Act’s prohibition of the emission of “toxic” substances was preceded by an administrative process to determine whether a particular substance should be classified as “toxic”.