Je vais emprunter le jeu de mots de mon collègue et dire qu'il s'agissait d'une mesure législative diluée, qui ne visait qu
e le prélèvement en vrac des eaux frontalières. Selon les spécialistes de la po
litique de l'eau du programme des enjeux liés à l'eau, mené par le Centre Munk d'études internationales de l'Université de Toronto, même si le projet de loi C-26 interdit effectivement la plupart des prélèvements en vrac des cours d'eau transfrontaliers, il n'y est pas question de ce qui risque le plus de poser une menace pour les resso
...[+++]urces hydrographiques canadiennes, soit les transferts d'eau entre bassins hydrographiques.