En effet, l’exemple allemand a démontré que des primes plus élevées sont nécessaires pour garantir la couverture, selon toute probabilité, du risque de défaillance (et des coûts administratifs): les régimes allemands comportaient des primes annuelles allant de 0,8 % à 1,5 %, en fonction du degré de solvabilité du bénéficiaire.
The German case showed that, to ensure that the default risks (and the administrative costs) were in all probability covered, higher premiums were needed: the German schemes carried premiums which varied between 0,8 % and 1,5 % p.a., depending on the creditworthiness of the beneficiary.