Ceci é
tant, le cabinet du ministère public - qui a remplacé le procureur général (Director of
Public Prosecutions) - ne peut toujours pas, à ce jour, être tenu pour responsable du processus décisionnel qui a abouti à l’abandon des poursuites dans des affaires comport
ant des éléments de preuves; ainsi, plus de quarante enquêtes sur des homicides controversés perpétrés par des agents de l’État ont été différées - certaines pour plus de dix ans - et une loi sur les enquêtes (Inquiries Act) a été
...[+++] adoptée afin de protéger les intérêts de l’État et d’effacer des informations susceptibles d’être divulguées à propos de l’assassinat de Pat Finucane, avocat des droits de l’homme, en 1989.
Given that, the office of the Public Prosecution Service, formerly the DPP, remains unaccountable for its decision-making process regarding non-prosecutions in cases where prima-facie evidence exists, up to 40 inquests into controversial state killings have been delayed, in some cases for more than ten years, and the Inquiries Act has been introduced to protect state interests and to suppress information that might emerge regarding the killing of human rights lawyer Pat Finucane in 1989.