Les premières études avaient révélé la présence d'une vaste gamme de substances — des polluants organiques persistants, des métaux lourds et des radionucléides — dont beaucoup n'avaient pas leur source dans l'Arctique ni au Canada, mais qui se retrouvaient néanmoins en des concentrations anormalement élevées dans l'écosystème de l'Arctique.
Early studies indicated that there was a wide spectrum of substances persistent organic pollutants, heavy metals, and radionuclides many of which had no Arctic or Canadian source, but were nonetheless reaching unexpectedly high levels in the Arctic ecosystem.