Avant l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, le Parlement n'avait pas le dernier mot sur les dépenses obligatoires, relatives à l'agriculture ou aux accords internationaux notamment (environ 45% du budget de l'Union au total), pour lesquelles il ne pouvait que proposer des modifications.
Before entry into force of the Treaty of Lisbon, the Parliament did not have the last word on compulsory expenditure, in particular for agriculture or for international agreements (approximately 45% of the Union's entire budget), for which all that could be done was to suggest changes.