M. Lavin : Non, je n'y vois aucune contradiction, car selon notre expérience
— et M. Kronenburg pourra me corriger si j'ai tort —, les aéroports sont devenus plus effi
caces à la suite de leur privatisation, et aussi beaucoup plus à l'écoute des besoins de leurs clients, qu'il s'agisse de passagers ou de lignes aériennes. Ce qui est de trop, c'est l'argent que l
e gouvernement leur enlève depuis toutes ces années et qu'il continuera
...[+++]à percevoir.Mr. Lavin: I do not see the contradiction, because the airports themselves, based on our experience — and Mr. Kronenburg will correct me if I am wrong — became more efficient once they were privatized and much more responsive to their customers, both the passengers and the airlines, but the overhang was what the government took out every year and continues to take out.