Dans la pratique, l'absence d'une telle exigence commune risque de porter atteinte aux données échangées entre les services de police étant donné que ceux-ci ne seront pas en mesure de déterminer s'il convient de considérer ces données comme des «preuves», des «faits», des «renseignements confirmés» ou «des renseignements non confirmés».
The lack of such a common requirement could actually undermine the data being exchanged between police authorities as they will not be able to ascertain whether the data can be construed as ‘evidence’, ‘fact’, ‘hard intelligence’ or ‘soft intelligence’.