En effet, nous ne pouvons pas ignorer - ce ne serait pas politiquement correct de le faire - les gestes d’ouverture de la Tunisie, notamment la libération de 600 prisonniers politiques, la restitution de passeports à certains membres de l’opposition et la volonté manifeste de réduire la tension autour du cas du journaliste Taoufik Ben Brik, ainsi que l’acceptation de ses revendications.
We cannot ignore, and it would be politically incorrect to so do, the gestures of openness already made by Tunisia, particularly in freeing 600 political prisoners, returning passports to certain members of the opposition and being clearly willing to reduce tensions in the case of the journalist, Taouffik Ben Brick, and accepting his specific claims.