Ceux qui ne sont pas d'accord avec l'idée de centres de soutien pour trauma et stress opérationnels, ces cliniques, à l'extérieur des bases militaires, estiment que, au contraire, on pourrait empirer la stigmatisation, car cela équivaudrait à dire que ce n'est pas au sein de la famille des Forces canadiennes qu'ils pourront se faire traiter.
Those who disagree with the approach of putting an OTSSC, one of those clinics, off the base take the position that you may be adding to the stigma, because you're telling people they have to go outside the Canadian Forces family to get treatment.