Le maintien sur le territoire de personnes sans droits, dans la précarité la plus totale, à la merci d’une dénonciation, réduites à alimenter le profitable marché du travail clandestin ou à céder à la délinquance, mais qui préfèrent néanmoins cette situation au risque d’un retour dans leur pays d’origine, pose effectivement d’inévitables questions sociales, morales et juridiques.
Having on our territory people with no rights, with absolutely no security, in fear of being reported to the authorities, reduced to feeding the profitable illegal labour market or resorting to petty crime, but who nevertheless prefer that situation to the risk of being returned to their countries of origin, in fact raises inevitable social, moral and legal questions.