Mais l’impression générale qui ressort, c’est que la politique de concurrence de Bruxelles est l’expression d’une doctrine ultralibérale, celle de la Commission en lutte contre le «patriotisme économique», appliquée paradoxalement par une bureaucratie tatillonne intervenant sans cesse dans les stratégies d’entreprise ou les politiques des États.
The general impression that comes out, however, is that Brussels' competition policy is the expression of the Commission's ultraliberal doctrine against 'economic patriotism', paradoxically put into practice by a nit-picking bureaucracy that continually interferes in business strategies and national policies.