Le nouveau commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, estime que la mesure temporaire adoptée par le gouvernement en juin 2005 a une portée plutôt limitée, puisqu’elle ne protège les droits linguistiques que des employés qui choisissent de déménager([38]). Le cas de la Commission canadienne du tourisme montre qu’une telle mesure peut avoir des effets fâcheux.
Graham Fraser, the new Commissioner of Official Languages, is of the view that the temporary measure established by the government in June 2005 is rather limited in its scope, as it only protects the language rights of employees who decide to relocate ([38]) The experience of the Canadian Tourism Commission shows that measures of this type can have negative repercussions.