Comme dans le cas du maire de Toronto, qui a été menacé de destitution, la loi est une bête maladroite et parfois vigoureuse. Donc, si la loi dit qu'en cas de manquement, il faut au minimum qu'une lettre soit envoyée au Président pour dire que la personne ne peut pas siéger, il s'ensuit que le directeur général des élections appliquait simplement la loi.
As was the case in Toronto with the mayor when he was threatened with removal from office, the law is a clumsy and sometimes forceful animal, so if the law says the mandatory minimum for a particular breach is a letter to the Speaker saying a person cannot sit, then the Chief Electoral Officer was merely acting according to the law.