Après avoir étudié la demande d'extradition, y compris les trois affidavits de Mme Poor Bear ainsi que les plaidoiries de M. Peltier et s'être assuré que M. Peltier aurait droit à un procès équitable et qu'il ne serait pas passible de la peine de mort, le ministre de l'époque a alors ordonné la remise de M. Peltier aux autorités américaines.
After considering the extradition request, including all three affidavits of Ms. Poor Bear together with Mr. Peltier's submissions and satisfying himself that Mr. Peltier would receive a fair trial and not be subjected to the death penalty, the then minister ordered Mr. Peltier's surrender to the U.S. authorities.