M. Stanley Hartt: Je ne suis pas expert en la matière. Toutefois, si l'on n'interroge sur
le droit qu'ont les passagers à bord d'un avion de comprendre ce qui leur est dit, surtout s'il s'agit d'une question de sécurité, si des annonces sont faites au sujet de la sécurité ou, Dieu nous en préserve, s'il s'agit d'un véritable incident et que les agents de bord essaient d'expl
iquer aux passagers quoi faire, il me semble inadmissible que certains de nos concitoyens francophones qui ne connaissent pas couramment la deuxième langue puissen
...[+++]t être désavantagés en cas de crise parce que la Loi sur les langues officielles n'a pas obligé les responsables de Canada 3000 ou de WestJet, ou d'une autre compagnie aérienne en concurrence avec Air Canada, à offrir le service dans les deux langues.Mr. Stanley Hartt: I have no expertise on those kinds of issues, except
to say that if you said to me that when somebody is on an aircraft, does he or she have the right to understand what'
s being said to the passengers, especially where safety is involved, if announcements are made about safety or, God forbid, we're talking about an actual incident and the flight attendants are trying to instruct passengers what to do, I would hate to think some of our fellow citizens whose first language is French and who don't have fluency in a sec
...[+++]ond language would be at a disadvantage in a crisis because the Official Languages Act didn't oblige Canada 3000 or WestJet, or some of the other companies that still compete with Air Canada, to do that.