Les remarques qui critiquent la présidence, qu'elles soient prononcées à la Chambre ou hors de celle-ci, particulièrement lorsqu'elles sont prononcées par un député, sont très graves et ont été jugées constituer un atteinte au privilège. On trouve dans le commentaire 168(1) de la sixième édition de Beauchesne ce qui suit: On ne saurait critiquer le comportement ou les actions du Président sans encourir de sanctions pour atteinte au privilège.
Remarks critical of the speakership, be they uttered inside the House or outside the Chamber, particularly when uttered by a member of the House, are very serious and in themselves have been ruled to be breaches of privilege as per Beauchesne's sixth edition, citation 168(1): Reflections upon the character or actions of the Speaker may be punished as breaches of privilege.