Le ministre des Affaires intergouvernementales écrivait, en 1992, et je cite, «que la meilleure solution serait une dévolution unilatérale des pouvoirs sur la langue uniquement à la législature du Québec et appliquée uniquement sur le territoire québécois».
In 1992, the Minister of Intergovernmental Affairs wrote that the best solution would be a unilateral devolution of powers with respect to language solely in the Quebec legislature and enforced solely in Quebec's territory.