Un économiste du Collègue militaire royal de Kingston, John Treddenick, s'est penché sur cette question, et les études qu'il a menées révèlent que le Québec, malgré sa bonne performance sur le plan de l'octroi en première main des contrats de défense du ministère de la Défense, voit sa part diminuée sensiblement.
John Treddenick, an economist with the Royal Military College in Kingston, looked into this subject and according to his study, Quebec performed well on direct contracts with the Department of National Defence but was getting less than its share of economic spin-offs, increasingly.