Néanmoins, les sociétés ont choisi, plutôt que de créer des emplois et d’investir dans la construction d’infrastructures au Canada, d’engranger 572 milliards de dollars de profits — subventionnés donc par l’État —, de porter le revenu de leurs dirigeants à 171 fois celui de l’employé canadien moyen et de précariser les emplois de leurs effectifs.
Rather than creating jobs and spending money on Canadian-made infrastructure, corporations have hoarded their government-subsidized profits to the tune of $572 billion, raised top CEO wages to 171 times that of the average Canadian worker, and shifted their workforce into increasingly precarious jobs.