Au Québec, pendant la majeure partie de son histoire, il était considéré acceptable que les francophones, aussi compétents soient-ils, n'aient pratiquement aucune chance de devenir des gestionnaires, des vice-présidents ou le président des entreprises dans lesquelles ils travaillaient.
In Quebec for much of its history it was considered okay that a francophone Quebecker, no matter how capable, had virtually no chance of becoming the manager, vice-president or president of the company he or she worked for.