Je suis d'avis que les changements dont la Chambre des communes est act
uellement saisie ne requièrent pas absolument l'accord des provinces, parce qu'ils ne portent pas sur les p
rémisses de base de notre Constitution — la Couronne, le cycle électoral, l'existence du Sénat et de la Chambre et par conséquent, l'unanimité —, et n'exigeraient pas non plus l'approbation de sept provinces représentant 50 p. 100 de la population, comme ce fut envisagé dans d'
...[+++]autres débats constitutionnels.