Dans la conclusion de mon ouvrage, A State of Minds, je me suis efforcé de dégager l'idée selon laquelle il se passe quelque chose d'étrange au Canada étant donné que ce qui paie électoralement, ce que l'on peut faire miroiter aux citoyens, ce ne sont plus les vieux chevaux de bataille d'Ottawa—les ressources naturelles, les mégaprojets et tout ce nationalisme dont on nous rebattait les oreilles.
In the concluding part of my book, A State of Minds, I wrestled with the notion that something strange has happened in Canada, because the electoral currency, the stuff that sells to citizens, is no longer the old Ottawa stuff—it's no longer resources, it's no longer megaprojects, it's no longer that stuff of nationalism that used to be out there.