Le rapport soulignait d’ailleurs qu’une résolution adoptée, à l’époque, lors de la 10 session annuelle de la Commission des stupéfiants des Nations-Unies, indiquait que cette forme de traitement n’était pas à conseiller.[66] Il a également rejeté l’application du modèle du Royaume-Uni après avoir confirmé, à l’aide de spécialistes britanniques, que les médecins ne devaient pas encourager un toxicomane à persister dans sa toxicomanie s’il ne pouvait pas s’abstenir de consommer des stupéfiants, même après un long traitement impliquant la réduction graduelle des doses prescrites.
The Committee moreover emphasized that a resolution adopted at the time at the tenth annual session of the United Nations Narcotic Drug Commission, stated that this form of treatment was not advisable.[66] It also rejected the United Kingdom's model after confirming, with the aid of British specialists, that doctors should not encourage drug addicts to persist in their addiction if they could not, even after lengthy treatment involving gradual reduction of the prescribed doses abstain from drugs.