La simple notion selon laquelle le gouvernement fédéral prélèverait des impôts trop élevés dans diverses parties du pays, privant ainsi les provinces de l'assiette fiscale nécessaire pour s'acquitter de leurs obligations const
itutionnelles, pour ensuite lancer des programmes fédéraux somptuaires dans des domaines de compéten
ce provinciale pour montrer l'omniscience d'Ottawa, pour montrer que « papa a raison », et que l'on ne peut pas faire confiance aux provinces pour s'acquitter des responsabilités qui leur incombent, cette simple no
...[+++]tion, dis-je, n'est pas celle du gouvernement qui a été élu le 23 janvier. Je pense que c'est une bonne chose pour le Canada.
The simple notion that the federal government would overtax in various parts of the country while the provinces thereby, do not have the fiscal capacity to meet their constitutional obligations, and then launch boutique federal programs in provincial jurisdictions to indicate that Ottawa is all knowing — father knows best and the provinces cannot be trusted to address their jurisdictional obligations — is not one shared by the government elected on January 23, and I think that is a good thing for Canada.