Le fait qu’il y ait 2 200 prisonniers politiques traînant dans des conditions épouvantables dans des centres de détention et que les militaires birmans se rendent responsables en permanence d’actes d’exécutions extrajudiciaires, de travail forcé, de violences sexuelles et d’autres violations des droits de l’homme ne peut être annulé par la libération d’une militante politique, quelle que soit son importance.
The fact that there are 2 200 political prisoners lingering in appalling conditions in detention facilities and that the Burmese military is responsible for continuing extrajudicial killings, forced labour, sexual violence and other human rights violations cannot be undone by releasing one political activist, no matter how prominent.