Pour ce type de migration, contrairement à la migration de main-d’œuvre, les États membres ne peuvent fixer à l’avance le nombre de personnes admises. En effet, à l’instar de nombreux instruments de droit international et de la directive de l’UE relative au regroupement familial [15] des ressortissants de pays tiers, la Charte des droits fondamentaux consacre l’obligation de respect de la vie familiale.
Indeed, the Charter of Fundamental Rights, along with many instruments of international law, and the EU Directive on family reunification [16] of third-country nationals recognise the obligation to respect family life.