L’abrogation de l’article 67 est décrite, par diverses parties, comme une réforme nécessaire, une mesure longtemps attendue de reconnaissance de l’égalité des droits des Premières nations, un moyen d’examiner les activités des chefs et des conseils, une limitation nécessaire de leur pouvoir sur les membres des Premières nations et un moyen d’accès aux mécanismes de protection des droits de la personne en tant que première étape vers la responsabilisation.
Repeal of section 67 is variously described as a necessary reform, a long-overdue measure that acknowledges equal rights for First Nations people, opens chiefs and councils to scrutiny, serves as a necessary constraint on their power over First Nations people, and provides access to human rights mechanisms as a first step toward accountability.