C
onstatant que les mesures de restructuration draconiennes imposées à l'entreprise GEA pouvaient la rendre de nouveau viable, qu'elle devait en financer elle-même la mise en oeuvre, sans aucun autre engagement financier de l'État, et que la restructuration a
ujourd'hui en cours serait sa première restructuration sérieuse, la Commission a conclu que la garantie accordée en 1992, dont l'État s'est libéré par le versement de 983 millions de ESP en 1994, pouvait être autorisée
...[+++]en tant qu'aide à la restructuration.