Même si certains États membres auraient tout aussi bien considéré la possibilité de démanteler le réseau, vu le mécontentement général devant son incapacité à atteindre les objectifs fixés, un groupe d'autres États membres a présenté un projet de réforme du REPC et la présidence suédoise de l'Union européenne en a fait une de ses priorités, à adopter au cours du semestre où elle exerce la présidence du Conseil, donc avant l'entrée en vigueur du traité de Lisbonne.
Although some Member States had also raised the possibility of dismantling the Network in view of the general dissatisfaction with its failure to fulfil expectations, a group of Member States presented a proposal for reforming it. The Swedish Presidency of the European Union made this proposal a priority, wishing it to be adopted during its six-month stint or in any event prior to the entry into force of the Lisbon Treaty.