La société doit se demander si, au nom de la liberté, il faut laisser la personne qui est atteinte d’une maladie cérébrale traitable et qui connaît les affres des délires en souffrance et sans abri parce qu’elle n’est pas physiquement dangereuse.
Society must ask itself whether, in the name of freedom, people with a treatable brain illness who are escaping delusional enemies should be left suffering and homeless because they are not physically dangerous.