Le principe traditionnel qui s’incarne dans la maxime societas delinquere non potest (c.-à-d. que les entreprises ne peuvent pas commettre une infraction) demeure ancré dans les lois de certains États, notamment la France, l’Allemagne et l’Autriche, où la responsabilité pénale des personnes morales ne s’applique que dans des circonstances limitées(12), et ce, d’une manière plus restrictive en règle générale que dans la « théorie de l’identification » du droit anglo-canadien.
The traditional principle embodied in the Latin maxim societas delinquere non potest (companies cannot commit an offence) continues to be reflected in the laws of some states, such as France, Germany and Austria, where corporate criminal liability applies in only limited circumstances,(12) and generally on a more restrictive basis than the “identification theory” of Anglo-Canadian law.