Durant les discussions au sujet du mandat de la Commission, on s’est demandé si cette dernière devait tenir compte de
questions de nature médicale associées aux drogues, telles que la toxicomanie et son traitement ; la proposition a été rejetée (par une majorité d’une voix) parce qu’on croyait que la
représentation de l’expertise médicale était inadéquate à la réunion.[13] Il s’agissait d’un précédent lourd de conséquences : à la plupart des réunions futures, il y aurait surtout des diplomates et des fonctionnair
...[+++]es, et une contribution peu importante des experts en médecine.
In the discussions on the Commission’s terms of reference, one question that arose was whether drug-related medical issues, such as addiction and its treatment, should be considered; the proposal was defeated (by a majority of one) because it was felt that there was insufficient medical expertise present at the meeting.[13] This set a telling precedent: most subsequent drug meetings would be attended predominantly by diplomats and civil servants, with little significant input from medical experts.