Notre réaction sur ce point, c'est que si nous procédons ainsi, il nous faut bien comprendre ce que nous faisons et le dire clairement à la population canadienne sans placer le BSIF dans une situation intenable qui le mènerait à jurer à notre population que le niveau de protection n'a jamais été aussi bon quel que soit l'établissement auquel on s'adresse, alors que d'un autre côté on lui complique de plus en plus son travail de réglementation et de supervision.
Our message in respect to that is if we do that, let's understand what we're doing and let's make it clear to Canadians what we're doing, and don't put OSFI in the untenable position in which you say to Canadians that the level of protection, no matter which institution you deal with, is just as good as it always was, while at the same time raising the difficulty of regulating and supervising.