Compte tenu des coûts de revient élevés de ces activités, qui résultent principalement de fact
eurs inhérents à la situation ultrapériphérique de Madère et des Açores (à savoir l’éloignement, l’insularité, la faible superficie, le relief et le climat), il a été jugé que seule une réduction du taux d’accise frappant les boissons en question, produites et consommées
localement, pouvait leur permettre de continuer à soutenir sur un pied d’égalité la concurrence des produits similaires importés ou livrés à partir du reste de la Communauté,
...[+++] et pouvait par conséquent assurer la pérennité des secteurs d’activité précités.