Une certaine flexibilité est néce
ssaire, d'une part, pour que les États membres puissent prendre, en cas de
besoin, les mesures nécessaires pour que les connexions soient capables de supporter ce débit de données et, d'autre
part, pour que les États membres, le cas échéant, puissent autoriser des débits de données inférieurs à ce plafond de 56 kbits/s afin, par exemple, d'exploiter les capacités des technologies sans fil (y compris les réseaux sans fil
...[+++] cellulaires), dans le but de fournir un service universel à une plus grande partie de la population.