Le Greffier de la Chambre, Arthur Beauchesne, avait proposé la même année son interprétation de ces deux éléments; il écrivait en effet que l’utilisation persistante de langage non parlementaire par un député (en plus des répétitions ou des remarques non pertinentes) constituait un motif suffisant pour que le Président désigne ce député par son nom (Beauchesne, 2 éd., p. 89).
An interpretation of both these points was advanced in the same year by the Clerk of the House, Arthur Beauchesne, who wrote that a Member’s persistent use of unparliamentary language (in addition to repetition or irrelevance) was sufficient reason for the Speaker to name that Member (Beauchesne, 2 ed., p. 89).