À mon avis, étant donné les statistiques terribles sur l'éducation des Premières nations dans ce pays, il est malheureux qu'il n'y ait pas eu de grands mouvements de protestation et cela amène certainement à se poser des questions comme les vôtres, soit à se demander s'il y a un réel appétit pour des réformes fondamentales de l'éducation de la part de nos leaders?
In my opinion, given the terrible statistics that exist around First Nations education in this country, the absence of a large-scale wave of protest is unfortunate and it certainly gives rise to the questions such as yours, namely, is there a real appetite for fundamental reforms in education on the part of the leadership?