Si je ne me trompe pas, l'arrêt Beaulac représentait quand même une décision majeure pour le ministère et il demandait que le ministère, dans l'administration de la justice criminelle, soit capable institutionnellement c'est-à-dire partout au pays, sans être obligé d'envoyer des interprètes ou des avocats de juger des gens dans leur langue maternelle, en anglais ou en français.
If I'm not mistaken, Beaulac was a major decision for the Department and it required the Department, in the administration of criminal justice, to be institutionally capable that is to say across the country, without being required to send interpreters or lawyers to judge people in their mother tongue, in English or in French.