Son interprétation est qu'il s'agit de ce que la Cour suprême du Canada a appelé « droit figé », bien qu'en 1867, les concepteurs de cette Constitution ne tenaient compte que du mariage hétérosexuel, le juge Pitfield a dit qu'à l'heure actuelle — c'est-à-dire en 2004, lorsque nous discutions du Renvoi —, cela ne signifie plus que le mariage est une institution hétérosexuelle figée.
His interpretation was what the Supreme Court of Canada characterized as frozen rights. Although in 1867 the framers of that Constitution were thinking only of heterosexual marriage at the time, he said it does not mean that today — in 2004, when we were arguing the reference — it is frozen as a heterosexual institution.