Cela n'a rien à voir non plus avec le secret professionnel. Cela étant, je vous demanderais à vous qui êtes à la fois expert et avocat si, à votre avis, le texte de l'article 11, dans sa version anglaise, qui ne parle que des communications entre le conseiller juridique et son client, est suffisamment complet pour protéger les comptables, les avocats et tous les autres intermédiaires financiers qui peuvent intervenir dans le cas d'une transaction boursière par exemple?
That being the case, my question to you as an expert and as a lawyer is this: Do you think that the language in clause 11, dealing only with communication, is broad enough to protect accountants, lawyers and other financial intermediaries who are dealing with something like a securities transaction?