Dans un article publié dans le journal Le Devoir du 23 décembre dernier, M. Landreville explique les dangers d'une telle législation, et je le cite: «Environ 1 500 personnes sont reconnues coupables chaque année au Québec et pourraient éventuellement écoper d'une peine minimale de quatre ans en sus de la peine pour l'infraction principale.
In an article published in Le Devoir of December 23, Mr. Landreville explains the danger of such legislation, and I quote: ``Some 1,500 persons are convicted each year in Quebec and could possibly be given a minimum sentence of four years in addition to the sentence for the major offence.