Lorsque le gouvernement a déclaré que le CIPC était aussi efficace qu'un registre national des délinquants sexuels, il oubliait que les gouvernements provinciaux et les groupes de défense des droits des victimes ont uni leurs voix à celle de l'ACP pour dire que le CIPC était bien loin de ce dont on avait besoin pour préserver les Canadiens, et particulièrement les plus vulnérables d'entre eux, nos enfants, des prédateurs sexuels.
When the government said that CPIC was as good as a national sex offender registry, it forgot that provincial governments and victims rights groups joined the CPA in saying that CPIC fell far short of what was needed to keep Canadians particularly those who are most vulnerable, our children safe from sexual predators.