M. Charlie Penson: Monsieur le président, si j'ai posé la question, c'est parce que dans le texte de loi que nous avons sous les yeux aujourd'hui.Il semble, étant donné que l'essentiel des échanges au Canada et aux États-Unis se fasse entre les deux pays, et que la plupart de ces industries sont intégrées—l'acier, l'automobile, le boeuf, par exemple et sans doute le bois d'oeuvre dans une grande mesure également—que tout cela serait en grande partie inutile si nous pouvions faire avancer ce dossier.
Mr. Charlie Penson: Mr. Chairman, the reason I asked that question is that in the legislation before us today— It seems, with most of our trade in Canada and the United States being cross-border, and a lot of those industries being integrated—steel, automobile, beef, for example, probably lumber to a large extent too—a lot of this wouldn't be needed if we could move this along.