La loi fédérale sur les langues officielles, qui met sur un pied d'égalité l'usage de la langue anglaise et de la langue française dans les institutions fédérales, repose sur la compétence résiduelle du Parlement canadien, comme l'a établi l'arrêt Jones de 1975, un jugement unanime de notre plus haut tribunal.
The federal Official Languages Act, which puts the use of the English and French languages in federal institutions on an equal footing, is based on the residual powers of the Canadian Parliament as set out in Jones in 1975, a unanimous ruling by the highest court in our land.