Les autorités françaises étaient conscientes de ce que le «transfert des charges de retraites des agents fonctionnaires de France Télécom au budget général de l’État» était «une charge nouvelle et lourde pour l’État» que la contribution forfaitaire exceptionnelle ou le produit de la cession d’une partie des actions de l’entreprise détenues par l’État ne couvriraient que partiellement.
The French authorities were aware that the ‘transfer of the pension costs for the civil servants of France Télécom to the general State budget’ was ‘a new and heavy burden for the State’ that the exceptional flat-rate contribution or the proceeds of the sale of part of the shares in the undertaking held by the State would only cover in part.