En ce sens, la position du Canada, qui est encore assez proche de celle des États-Unis, est que les produits dérivés, de façon générale, ne pouvant se reproduire parce qu'ils ne sont pas vivants—en général ils sont transformés ou les formats d'ADN sont détruits ou purifiés—, on devrait en donner la responsabilité à l'Organisation mondiale du commerce.
Canada's position in this regard is, again, quite similar to that of the United States, namely, that derived products, generally, since they cannot reproduce because they are not living—they are usually processed or their DNA structure has been destroyed or purified—should fall under the auspices of the WTO.