On présente le projet de loi C-232 comme un choix entre la compétence juridique et le bilinguisme, mais c'est un faux choix : la Charte canadienne des droits et libertés fait en sorte que le bilinguisme est une des compétences juridiques essentielles pour siéger au plus haut tribunal du pays.
Bill C-232 is presented as a choice between legal competence and bilingualism, but that is a false choice. The Canadian Charter of Rights and Freedoms ensures that bilingualism is one of the essential legal qualifications for sitting on the highest court in the land.